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Union des forces de gauche au Département : deux nouveaux élus rejoignent Finistère et Solidaires

Pauline Dogué et Barthélémy Gonella, au centre de la photo, rejoignent le groupe principal d’opposition  de gauche du département du Finistère. Ici avec leurs suppléants.
Pauline Dogué et Barthélémy Gonella, au centre de la photo, rejoignent le groupe principal d’opposition  de gauche du département du Finistère. Ici avec leurs suppléants.

Dans un esprit d’unité et de responsabilité, Pauline Dogué et Barthélémy Gonella, conseillers départementaux du groupe Finistère d’Avenir, initié en 2021 par les Écologistes, l’UDB, Nouvelle Donne, Génération.s, annoncent rejoindre le groupe Finistère et Solidaires au Conseil départemental du Finistère.


Ce rassemblement est un signal politique fort qui témoigne de la conviction des conseillers départementaux Finistère et Solidaires que l'union des forces de gauche et de progrès est attendue par les Finistériens qui les ont élus en 2021.


Ces quatre dernières années, Pauline Dogué et Barthélémy Gonella ainsi que les 22 élus Finistère et Solidaires ont porté des combats communs, sociaux et environnementaux, face à une politique de recul social menée par les droites départementales.


Le groupe "Finistère et Solidaires", composé désormais de 24 élus, soutenu par la majorité des forces politiques de gauche, élargit donc son périmètre politique, composé d'élus "divers gauche" et d’élus adhérents au Parti socialiste, au Parti communiste, aux Écologistes et à Place publique.


Satisfaction


Kévin Faure, président du groupe Finistère et Solidaires : "Je me réjouis de l'arrivée de Pauline et Barthélémy au sein de la dynamique Finistère et Solidaires. Convaincu que les combats nécessaires en faveur d'un Finistère qui protège, fort sur ses compétences de solidarités humaines et territoriales, sont les plus importants, c'est grâce aux unions que les forces de gauche peuvent mener la bataille idéologique face aux droites rétrogrades, creusant les inégalités et agitant les peurs. L'union de la gauche n'est pas une incantation, c'est une construction permanente, faite de dialogue et de responsabilité. A mi-mandat, le groupe Finistère et Solidaires reste solide et profondément engagé pour faire entendre son projet alternatif, en prise avec de nombreux acteurs et citoyens du département."


Pauline Dogué : "Nous faisons le choix de la cohérence et de l’efficacité : il est urgent de rassembler les voix de l’opposition et de travailler sur le fond pour proposer une alternative solidaire et écologique. Je continuerai de porter haut et fort la voix des écologistes dans ce collectif de gauche, dans la continuité des résultats obtenus par Finistère d’Avenir en 2021. C’est une nouvelle étape pour construire, ensemble, un projet départemental à la hauteur des urgences sociales, climatiques et démocratiques du Finistère.


Ce rapprochement traduit une double exigence :

  • sociale, face à la casse orchestrée par le président du conseil départemental Maël de Calan, dont la politique fragilise les plus vulnérables avec la multiplication des attaques contre les allocataires du RSA, le recul du soutien aux dispositifs d’insertion ;

  • écologique, alors que les problématiques de qualité de l'eau, les incendies, les événements climatiques extrêmes de cet été (sécheresse) rappellent l’urgence d’agir pour protéger nos territoires, nos forêts, nos littoraux et les habitant.es du Finistère."


Barthélémy Gonella : "Deux constats s’imposent après quatre ans de mandature au sein du conseil départemental du Finistère. Le premier est que nous partageons la même vision d’une société humaine, respectueuse des Finistériennes et Finistériens. Le second est que nous souhaitons montrer qu’une union des gauches sociales et écologiques n’est pas seulement factuelle et liée à des élections, mais se conçoit très en amont afin de pouvoir échanger, travailler et proposer une vision future de notre société finistérienne, bretonne et nationale.

Cette union n’est pas une absorption mais une réelle union des forces politiques de gauche, hors les extrêmes que nous combattons, dans le respect mutuel des identités propres à chaque parti afin d’enrichir les débats, les idées et les propositions à venir, pour et avec la société civile dans sa globalité."

 
 
 

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